Félicitations à Justin Wright, responsable technique national chez Goscor, qui fait équipe avec Bobcat depuis 20 ans ! Dans cet entretien exclusif, nous évoquons le début de carrière de Justin, sa passion pour Bobcat, des anecdotes mémorables avec ses clients, ses machines préférées, sans oublier quelques conseils pour ceux qui souhaiteraient suivre la même voie.

Comment a débuté votre histoire avec Bobcat ? Pourquoi rejoindre cette entreprise, et comment se passe l’aventure ?

Ma carrière chez Bobcat a commencé en avril 2003, quand j’ai saisi l’occasion d’y devenir Représentant des ventes au comptoir. J’ai alors quitté la petite ville d’Empangeni pour m’installer à Durban et travailler chez Bobcat, et je ne l’ai jamais regretté. Chez Bobcat, je vis une aventure enthousiasmante, stimulante et dans laquelle je ne m’ennuie pas. Chaque journée apporte son lot de défis à relever, qui m’aident à acquérir de nouvelles connaissances et compétences et à évoluer, tant sur le plan professionnel que personnel.

En quoi vous reconnaissez-vous dans la marque Bobcat et comment l’entreprise vous a-t-elle permis d’évoluer professionnellement ?

J’aime la marque Bobcat pour les notions de précision, d’attention portée aux détails et de professionnalisme qu’elle représente. Cette entreprise m’apporte beaucoup sur le plan professionnel, à travers le soutien et les possibilités d’amélioration des compétences qu’elle offre, qui nourrissent également mon évolution personnelle.

Après tant d’années passées chez Bobcat, vous avez sûrement des anecdotes mémorables qui impliquent des clients. Pouvez-vous nous en raconter une ?

J’ai fait quelques voyages intéressants en Afrique qui m'ont donné un sentiment de grande humilité, surtout quand j’ai dû « vivre à la dure ». Malgré les difficultés, l’hospitalité dont ont fait preuve les gens que j’ai rencontrés m’a vraiment fait chaud au cœur. Et je dois dire que toutes les rencontres avec mes clients préférés sont mémorables.

Avez-vous une famille de machines préférée parmi le vaste choix Bobcat ? Et si oui, pourquoi ?

J’ai un faible pour les télescopiques rotatifs, car ce sont des machines complexes.

Au fil des ans, Bobcat a sorti de nouveaux modèles et présenté de nouvelles technologies. Êtes-vous particulièrement impressionné par l’une de ces innovations, et en quoi change-t-elle la donne pour les clients ou dans le secteur ?

Le système de bus CAN sort du lot pour moi, car il simplifie les faisceaux de câbles et permet de diagnostiquer les erreurs plus facilement. Cette facilité de diagnostic se traduit par des réparations plus rapides, qui permettent aux clients de récupérer leurs machines plus vite.

Dans votre métier, vous devez répondre aux besoins variés des clients. Vous souvenez-vous d’une situation compliquée dans laquelle vos compétences techniques ont fait la différence ?

Il y a eu plusieurs situations de ce genre, en Afrique du Sud comme ailleurs sur le continent, où mes capacités techniques ont été mises à l’épreuve. Je peux difficilement en distinguer une cependant, car le contexte et les pannes ne sont jamais les mêmes, mais nous avons toujours réussi à résoudre le problème du client.

Avec vos deux décennies d’expérience, quel conseil donneriez-vous à un jeune collègue qui souhaite réussir sa carrière dans le secteur de la construction et des engins de chantier ?

Si vous n’enrichissez pas vos connaissances chaque jour, cela signifie que vous ne faites pas votre maximum. Si vous ignorez une information ou que vous ne la comprenez pas, vous devez vous donner pour mission de combler cette lacune. C’est ma devise.